rich, spoiled, rotten (lou)

▲ Âge : vingt ans, tout pile. plus qu'un an avant la majorité. ▲ Date de naissance : le 25 août 1877, la meilleure année baby. ▲ Genre : un mec, tu voudrais que j'sois quoi ? ▲ Orientation sexuelle : ben, hétéro, comme tout l'monde (gay af). ▲ Profession : étudiant en droit, c'est chiant à mourir, mais mon beau-père et ma mère ont insisté. rentier, j'suis déjà riche comme crésus, même si j'en ai pas encore l'accès (la loose). ▲ Rang : I'll be your dream [ ], wish [ ☆ ], fantasy [ ] j'aime me faire désiré

▲ J'ai jamais connu mon père et il n'a jamais vraiment daigné vouloir me connaitre. Tout le monde le sait plus ou moins. Il n'y a qu'à voir ma mère et sa ribambelle de maris pour comprendre. C'est une croqueuse d'hommes, elle se marie par amour, par intérêt, et puis elle les largue une fois ennuyée. J'essaye de piger pourquoi elle est comme ça, mais elle refuse d'en parler, elle fait l'autruche. Elle sait que je déteste ça, que ça me bousille la tête quand un nouveau mec fait son apparition dans la villa. Pour l'instant, c'est Joe Farnese qui lui a mis la bague au doigt. Il est plutôt sympa avec moi alors il me fait un peu pitié, memme si jai parfois limpression qu'il est conscient dans quoi il s'est impliqué.▲ Je ne suis pas un grand fan de nourriture, mais j'aime bien regarder notre chef cuisiner. Je lui demande de m'apprendre quelques recettes faciles de temps en temps, quand il a le temps. C'est un homme que j'admire beaucoup, peut-être parce qu'il est celui qui me nourrit au sens littéral du mot. ▲ J'attends d'être majeur pour pouvoir ce dont j'ai envie. Pour l'instant, je suis prisonnier de bon gré de ma mère. Donc si j'ai envie de m'acheter une PlayStation ou la nouvelle Nitendo 63, je dois lui demander l'autorisation, comme un gosse. Et ça, j'en peux plus, c'est fatiguant. Je rêve du jour où je pourrai avoir tout ce que je veux dans l'immédiat. Et puis, le plus important, je pourrais repartir à Boston, regagner le podium. ▲ Comme tout golden boy qui se respecte dans le Massachussets, je fais du surf. C'est assez cool, surtout pour etre invité aux soirées les plus prisées de Fall River. En périodes froides, je troque ma planche de surf pour ma planche de skate.▲ Mon futur ? C'est que j'y pense pas trop. Je suis encore jeune (contrairement à toi, apparemment) et ça me suffit. J'ai assez d'oseille pour tenir. Alors pourquoi m'emmerder avec des questions auxquelles je n'ai pas de réponses ? ▲Qui dit être le roi de Falls River, dit avoir une bonne reputation en classe. Alors, j'en fais assez pour que les professeurs soient satisfaits de mon travail et de mon comportement. C'est un package. ▲ Ça fait déjà cinq ans que j'ai quitté le gratin de Boston. Cinq ans que je navigue parmi les cul terreux. C'était cool au debut, d'être le nouveau de la ville, d'avoir toute l'attention rivé sur moi, et de jouer au parfait citadin. J'ai moins aimé devoir faire le chiot pour m'intégrer à la petite élite locale. Maintenant que les dés ont été jetés et que le jeu a commencé, j'ai le regret d'avouer m'être attacher à certains d'entre eux (la creme de la crème bien évidemment)

souriant, sociable, déconcertant, grande gueule, bavard, populaire, fêtard, coquet, pourri-gâté, pédant, hypocrite, avide d'attention, superficiel, désorienté, impatient, peur de l'abandon et de l'oubli.

(instant crush) Tout a commencé sur un bateau de croisière. Deux célibataires. Deux âmes qui se cherchent. Deux corps en fusion. Une nuit dans les draps de l'autre, une nuit a suffi pour que Sharon O'Brien, fille héritière de son père, ne tombe enceinte d'un homme dont elle ne se souviens que de son sourire. Son paternel a beau remué le ciel et la terre, les O'Brien ne retrouva jamais sa trace. Et ce ne fut pas pour déplaire Sharon qui n'aurait pas voulu se marier avec un parfait étranger. Catholique, ce fut inimaginable de penser à avorter, et elle ne s'y résolva pas, même avec cette peur constante au ventre. Je vais être une mère. Souvent, elle se surprit à ressentir du bonheur et de la fierté dans ces moments-là.
Ainsi naquit notre Lou, dans un foyer aussi dysfonctionnel que deux atomes en fusion.

(the prime time of your life) Les meilleures années (ou les pires, selon le point de vue) de Lou O'Brien s'étale derrière lui, alors qu'il était encore à Boston, la grande ville du Massachussets. Il y vivait une vie de faste, de luxe et de superflu sans nom, mais à laquelle il était habitué depuis la minute où il est sorti du ventre de sa "mère", comme il aime l'appeler, comme pour l'irriter expressément. La competition et la recherche de la popularité sont son quotidien. Il en mange matin, midi et soir. Ce n'est qu'une fois rentré à la maison que le cirque s'arrête... et encore, puisque Lou termine ses devoirs avec autant de sérieux qu'il choisit son style vestimentaire pour aller s'amuser. Heureusement que leur chef est là pour mettre un terme a sa solitude et sa dépendance aux jeux videos et aux sitcoms, et pour égayer certaines de ses soirées. Parfois, sa mère revient, avec un homme au bras. Au début, Lou le vivait mal, sentait qu'il dérangeait, qu'il créait un malaise. Et puis, au fil des années, des regards noirs, des engueulades, l'adolescent y mit son grain de sel, son venin. C'est à l'encontre des nombreux amants de sa mère qu'il s'attarda sur leurs silhouettes musclées et esthètes.

(burnin') Falls River, mais quelle honte. Encore une fois, Lou doit souffrir des décisions déraisonnées de sa matronne, pour que cette dernière largue le gus au bout de six mois de vie en concubinage. On ne peut pas faire plus lamentable, se disait le brun. Le pire dans tout cela ? C'est qu'il a tout quitté à Boston. Son cercle d'amis, ses crush secrets, sa gloire, sa popularité, TOUT. Et maintenant, il doit recommencer à zéro, dans une ville lambda, peuplée de gens lambdas, sans couleurs, sans personnalités, sans ambitions. Lou profite de toutes les opportunités qui s'offrent à lui pour s'élever dans cette nouvelle société qu'il connait peu, voire pas du tout. Un sourire, des maniguances, des couteaux dans le dos, des bonnes et des mauvaises surprises. La frustration qui grogne au tréfond de ses tripes à chaque fois que ses prunelles se reposent sur un bel homme. L'illusion de faire parti de l'élite de la ville et d'avoir le contrôle sur ce qui l'entoure. L'envie crevante d'être remarqué, admiré et craint. Tout ça, cest Lou.

▲ Pseudo : bliss. ▲ Âge : 29 ans.▲ Fréquence de connexion : heu, ça varie, 3 jours par semaine quand je bosse. Tous les jours pendant les vacances. ▲ Où avez vous connu le forum ? Prd. ▲ Région : idf. ▲ Commentaire : si tu veux un lien avec lou, ma boite mp est grande ouverte.  

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